Ouais, bon. On s’y remet…Là, ça va etre court, décousu et énigmatique, désolé, on fait ce qu’on peut, on est dans le reboot, faut que la machine se relance.
S’il fallait résumer cette année et demie, on dirait quoi ? Les mots me manquent. Rien. Rien, il ne reste rien. 100, 50, 30, 20 années viennent de se percuter en une quinzaine de mois et ne reste plus que moi. Moi et une ruine. Je suis sidéré. C’est beau la sidération, c’est calme…On reste le nez au vent, le regard vague et vide, le corps pantinisé et l’ame morte, mais on est calme. Et après les tempetes diverses et variées que cette si curieuse année aura offerte : une maladie, 3 mois à vivre sans juste une tune, un job quitté, le décès d’une mère et l’effondrement d’une maison, le calme, meme si c’est celui de la mort, ça fait du bien…!
Pas mal tout ça pour un seul homme quand meme…?! Et en à peu près un an. Ah, ça, quand la vie et le destin décident de te rattraper, ils ne font pas mine. Mais j’avoue sur ce coup là ma vie s’est un peu surpassée et a réussi à m’étonner. Et pourtant c’est pas facile. Il parait que Dieu ne nous envoie pas d’épreuve que l’on ne puisse surmonter. Cool, on en a enfin la preuve, je suis un surhomme ! Au moins…! Je dis ça, mais je m’étonne un peu moi meme, Je dors, je me lève, je mange, je réponds aux sollicitations, je mange et je vais dormir, sans médocs et sans plus que ça une envie de me buter, c’est pas si mal après tout. C’est donc ça une annus horribilis, allez, pour conclure aujourd’hui, je le fais le jeu de mot merdique…C’est donc ça et j’en ai vraiment plein le cul.
Bis bald.